Daniel’s work explores the intersection of natural and urban environments, creating a visual language that is both striking and quietly reflective.

Originally from Melbourne, in Quebec’s Eastern Townships, Daniel holds a Bachelor of Fine Arts with a Minor in Photography from NSCAD University (2008) and a Graduate Certificate in Visual Effects for Film from Seneca College at York University (2010). His background in both fine art and digital media informs a practice that blends traditional techniques with contemporary influences.

Using materials like moss, dried flowers, sticks, stones, and crushed cement, Daniel builds textured surfaces that give his paintings a tactile sense of place. In his work, wildlife encounters traces of human presence graffiti, tire marks, broken concrete highlighting the tension and overlap between the natural world and urban life.

His paintings don’t just depict animals; they place them within imagined environments shaped by human impact. The result is a quiet but vivid reflection on adaptation, survival, and the fragile beauty that exists at the edges of change.

Through subtle use of color and thoughtful composition, Daniel invites viewers into scenes that feel both familiar and slightly uneasy evoking wonder, concern, and a sense of connection.

Le travail de Daniel explore l’intersection entre les environnements naturels et urbains, créant un langage visuel à la fois percutant et empreint de sensibilité.

Originaire de Melbourne, dans les Cantons-de-l'Est au Québec, Daniel détient un baccalauréat en beaux-arts avec une mineure en photographie de la NSCAD University (2008), ainsi qu’un certificat d’études supérieures en effets visuels pour le cinéma du Collège Seneca à l’Université York (2010). Sa formation en art traditionnel et en médias numériques alimente une pratique qui allie techniques classiques et influences contemporaines.

À l’aide de matériaux comme la mousse, les fleurs séchées, les bâtons, les pierres et le ciment broyé, Daniel construit des surfaces texturées qui donnent à ses tableaux une forte présence matérielle. Dans son univers, la faune entre en contact avec les traces de l’activité humaine — graffitis, marques de pneus, béton fissuré — mettant en lumière la tension et le chevauchement entre nature et urbanisation.

Ses œuvres ne se contentent pas de représenter des animaux ; elles les placent dans des environnements imaginés, façonnés par l’impact humain. Il en résulte une réflexion silencieuse mais saisissante sur l’adaptation, la survie et la beauté fragile qui émerge aux marges du changement.

Par une utilisation subtile de la couleur et une composition réfléchie, Daniel invite le spectateur à entrer dans des scènes à la fois familières et légèrement troublantes — suscitant l’émerveillement, l’inquiétude et un sentiment de connexion.